Fin XIXe siècle

Années précédentes


1850 - Mémoires de la société des sciences,

de l’agriculture et des arts de Lille. Année 1849. Étude sur la trigonométrie. Gnomonique. À Lille - Alphonse Heegmann

1851 - Encyclopédie du XIXe siècle,

répertoire universel des sciences, des lettres et des arts. Tome XIII. Gnomon et Gnomonique. À Paris en 25 volumes - Dirigé par Ange de Saint-Priest

Réédition de 1860

Réédition de 1872 (tome XI)

1852 - Traité des ombres.

Livre IV. Gnomonique. À Paris - Joseph Adhémar (1797-1862)

Seconde édition, la première de 1840 ne comporte pas de passage concernant la gnomonique.

Réédition de 1866

Réédition de 1870

Réédition de 1875

1853 - Mémoires de la section des sciences

de l’académie des sciences et lettres de Montpellier. Tome II - IIième fascicule. Années 1852-1853. Traité de gnomonique. À Montpellier - Lenthéric

1856 - Nouvelles annales de mathématiques.

Journal des candidats aux écoles polytechnique et normale. Tome XV. Gnomonique. Construction d’un cadran solaire à style quelconque, en s’assujettissant à la condition de n’employer que des droites pour les lignes horaires et les lignes de déclinaison. À Paris - Charles Peaucellier (1832-1919)

1856 - Nouvelles annales de mathématiques.

Journal des candidats aux écoles polytechnique et normale. Tome XV. Théorie du cadran solaire de Dijon, sa généralisation. À Paris - Charles Peaucellier (1832-1919)

La première généralisation du cadran analemmatique (les projections parallèles sont considérées comme des cas particuliers de la projection centrale à partir d’un point quelconque). Difficile de faire plus concis.

1859 - Pratique de la gnomonique,

ou méthodes sûres pour construire les cadrans solaires. À Avignon - Abbé Chaix

1857 - Complément de l’encyclopédie moderne.

Dictionnaire abrégé des sciences, des lettres ,des arts, de l’industrie, de l’agriculture et du commerce. Tome IV. Gnomon, Gnomonique. À Paris en 12 volumes de texte et 2 volumes de planches - J. E. Tardieu

Réédition de 1863

1860-62 - Cours d’astronomie et de géodésie

de l’école impériale polytechnique. Chapitre VIII : Applications. Des cadrans solaires.

1862 - Mémoires de la section des sciences

de l’académie des sciences et lettres de Montpellier. Tome V. Théorie et construction du cadran solaire portatif dit analemmatique. À Montpellier - E. Viala

1862 - Bulletin de la société d’encouragement pour l’industrie nationale.

61e année. Mois de juillet. Gnomonique. Rapport sur un tableau destiné à résoudre graphiquement les triangles horaires, par M. Henri Robert, horloger. À Paris - E. de Silvestre

1863 - Bulletin de la société d’encouragement pour l’industrie nationale.

62e année. Mois d’août. Gnomonique. Rapport sur un nouvel anneau astronomique ou cercle zénithal pour prendre la hauteur du soleil, par M. Henri Robert fils. À Paris - E. de Silvestre

1863 - Construction graphique et pratique

de tous les genres de cadrans solaires. À Dunkerque - H. Vansteenberghe

1863 - Précis de gnomonique

à l’usage de MM. les curés et desservants. À Paris - E. Monot

1867 - Dictionnaire des mathématiques appliquées.

Cadran azimutal, lunaire, polaire, solaire. À Paris - Hippolyte Sonnet (1802-1879)

Réédition de 1871

Réédition de 1874

Réédition de 1879

Réédition de 1884

1867 - Grand dictionnaire universel du XIXe siècle.

Tome III. Cadran. À Paris en 17 volumes dont 2 suppléments - Pierre Larousse (1817-1875)

Voir aussi dans ce dictionnaire :

1867 - Éléments de cosmographie.

À Paris - Amédée Guillemin (1826-1893)

Réédition de 1868

Réédition de 1873

Réédition de 1876

Réédition de 1885

Réédition de 1891

1870 - Bulletin de la société d’agriculture, sciences et arts de Poligny.

Gnomonique. Manière très simple d’établir ou de vérifier exactement, dans notre pays, une méridienne pour le règlement des horloges. À Poligny - M. Thevenin

1874 - Association française pour l’avancement des sciences.

Compte rendu de la 2e session. Cadran solaire azimutal. À Paris - M. Lisbonne

1874 - Notice sur le principe des cadrans solaires.

À Bruxelles - J.-P. Streosser

Deuxième édition.

1875 - La gnomonique, ou l’art de tracer les cadrans solaires

avec toute la précision des calculs trigonométriques et sans tirer aucune autre ligne que celles des heures. À Draguignan - Joseph Ferdinand Benjamin Vidal

1875 - Annales de chimie et de physique.

5e série. Tome VI. Les cadrans solaires coniques. À Paris - G. Rayet

1876 - Cadran solaire à équation

vrai régulateur des instruments d’horlogerie par l’abbé Berthiaud. À Bourg-en-Bresse - M. Béraud

1877 - Verhandlungen der Schweizerischen Naturforschenden Gesellschaft.

Tome LX. De la rétrogradation de l’ombre sur le cadran solaire. À Lausanne - Étienne Guillemin (1832-1907)

Le Dictionnaire des amusements des sciences mathématiques et physiques, auquel se réfère Étienne Guillemin, est un volume de l’encyclopédie méthodique et le problème concerné est Comment l’ombre d’un style peut rétrograder sur un cadran solaire sans miracle, soit le problème XXXII des Récréations de Montucla. Dans l’encyclopédie, la remarque de Montucla reproduite ci-dessous n’a pas été reprise. Elle aurait peut-être orienté différemment les propos de Guillemin.

Profitons de ce commentaire pour pointer vers les écrits bibliques qui sont, par ailleurs, souvent cités en référence. On trouvera notamment dans cette Bible protestante de 1779 numérisée par e-rara :


REMARQUE.

Quelqu’un dira peut-être que voilà l’explication naturelle du miracle que les livres saints nous apprennent avoir été opéré en faveur d’Ezéchias, roi de Jérusalem ; mais à Dieu ne plaise que nous ayons eu l’idée d’atténuer ce miracle. Il est d’ailleurs bien peu probable que, si la rétrogradation de l’ombre, opérée sur le cadran de ce prince, eût été un effet aussi naturel, on l’eût méconnu au point de ne s’en apercevoir que lorsque le prophète lui annonça ce signe de sa guérison ; car il devait s’opérer toutes les fois que le soleil se trouvait entre le tropique & le zénith du cadran : ainsi la merveille citée par les livres saints reste entière.

1877 - Bulletin monumental

ou collection de mémoires sur les monuments historiques de France. 5e série, tome 5. Inscriptions et devises horaires. À Tours - Marc-Charles-Edmond Séré, baron de Rivières (1835-1909)

L’article est divisé en 4 parties.

1879 - Chronomètre solaire universel et portatif

servant à déterminer la latitude, la méridienne et l’heure moyenne. À Paris - V. Flechet

1879 - Cours de cosmographie.

Cadrans solaires. À Paris - Ernest Laurent

1882 - L’astronomie, mois de septembre.

Quelle heure est-il ? Le temps vrai, le temps moyen et les cadrans solaires. À Paris - A. Lepaute

1885 - L’astronomie, mois de février.

Construction des cadrans solaires. À Paris - Henri Amat

1885 - L’astronomie, mois de septembre.

Le cadran solaire à rétrogradation. À Paris - Étienne Guillemin (1832-1907)

Voir le commentaire de la publication de 1877

1885 - Mémoires de la société d’archéologie, littérature, sciences & arts

des arrondissements d’Avranches & de Mortain. Tome VII. Le Cadran astronomique du Bois-Adam. À Avranches - Alfred de Tesson

Cet article est complété par une annexe parrue l’année suivante.

1887 - Le cadran d’Achaz et les miracles.

Avec un appendice donnant la théorie du cadran solaire à rétrogradation. À Lausanne - Jules Gaudard (1833-1917)

1888 - Association française pour l’avancement des sciences.

Compte rendu de la 17e session. Recherches sur la courbe d’ombre d’un piquet vertical. À Paris - Édouard Collignon (1831-1913)

1888 - La nature n° 757

Les cadrans solaires. À Paris - Anonyme

1889 - La nature n° 842

Cadran solaire portatif. À Paris - Charles Édouard Guillaume (1861-1938)

1889 - La nature n° 849

Tracé pratique d’une méridienne. À Paris - Théodule Moureaux (1842-1919)

189? Cours de géométrie descriptive

professé à l’école nationale d’arts et métiers d’Angers. Honoré Muraire (1833-?)

1891 - La nature n° 915

Les cadrans solaires, à propos de deux instruments anciens. À Paris - Charles Édouard Guillaume (1861-1938)

1891 - La nature n° 931

Les cadrans solaires. À Paris - Charles Édouard Guillaume (1861-1938)

En France, l’heure légale passe de
l’heure moyenne locale à l’heure moyenne de Paris

1892 - La nature n° 998

La construction d’un cadran solaire. À Paris - Charles Édouard Guillaume (1861-1938)

1892 - Notice sur le régleur solaire.

À Avignon - A. Decohorne

Suite à l’institution, en 1891 et sur tout le territoire français, de l’heure légale qui correspond au temps moyen de Paris, ce cadran solaire est l’un des premiers à introduire la correction en longitude. On retrouve une description de ce cadran dans la revue Le génie civil n°670 de 1895, p. 376.

1892 - Cadran solaire,

système Ch. Chamberland. À Paris - Charles Chamberland (1851-1908)

1892 - L’astronomie, mois d’octobre.

Les cadrans solaires portatifs. À Paris - Charles Édouard Guillaume (1861-1938)

1893 - La nature n° 1022

Les cadrans solaires modernes. À Paris - Charles Édouard Guillaume (1861-1938)

1893 - La grande encyclopédie.

Inventaire raisonné des sciences, des lettres, et des arts. Tome XVIII. Gnomonique. À Paris en 31 volumes - Ch. de Villedeuil

1895 - L’art populaire dans le Briançonnais.

Les cadrans solaires. À Paris - Raphaël Blanchard (1857-1919)

C’est dans cet ouvrage qu’apparaît la première mention du nom de Zarbula attribué au cadranier qui réalisa, au milieu du XIXe siècle, une centaine de cadrans dans les Alpes françaises et italiennes.

Réédition de 1901

1899 - Comptes rendus des séances

de l’académie des inscriptions et belles-lettres. 43e année, n° 1. Le cadran de Carthage. À paris - Paul Tannery (1843-1904)


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